"On a le droit d'aimer Jacquouille, mais...", Adrien Quatennens, le bras droit de Jean-Luc Mélenchon, s'en prend au groupe TF1 !

"On a le droit d'aimer Jacquouille, mais...", Adrien Quatennens, le bras droit de Jean-Luc Mélenchon, s'en prend au groupe TF1 !

Jeudi 31 mars 2022, Adrien Quatennens, le coordinateur de La France Insoumise, a clairement indiqué qu'il ne comprenait pas que TF1 fasse de sa soirée de premier tour un non-événement en diffusant "Les Visiteurs". Surtout dans le cas où Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon seraient programmés au second tour de l'élection présidentielle.

Adrien Quatennens, bras droit du candidat de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, était l'invité de France Info ce jeudi 31 mars 2022. Il a regretté que TF1 ait déjà fait du premier tour un non-événement. Et pour cause : pour la première fois de son histoire, la première chaîne a décidé d'écourter la soirée du premier tour pour diffuser le film culte "Les Visiteurs" !

"La grande question des dix prochains jours est de savoir qui de Jean-Luc Mélenchon ou de Marine Le Pen sera présent au second tour face à Emmanuel Macron. Dans les sondages d'intention de vote au second tour, depuis que Jean-Luc Mélenchon est testé pour le second tour, il ne cesse de monter face à Emmanuel Macron... [...] Il se passe quelque chose !", a déclaré le député de la première circonscription du Nord, qui envisage un tête-à-tête entre Jean-Luc Mélenchon et l'actuel président de la République et regrette donc la faible couverture de TF1 à ce sujet.

Contrairement à la dernière élection présidentielle, où le débat entre les deux candidats du second tour (Emmanuel Macron et Marine Le Pen) faisait "pitié" selon Adrien Quatennens, un échange entre le candidat de La France insoumise et Emmanuel Macron pourrait avoir un intérêt énorme pour les Français. "On a le droit d'aimer Jacquouille...", estime-t-il en référence au personnage du film "Les Visiteurs", mais "si le second tour est un duel Emmanuel marron - Jean-Luc Mélenchon, nous aurons un énorme événement [...] qui aura le caractère d'un référendum social", conclut-il.