Une fillette de trois ans est entre la vie et la mort après avoir avalé une tomate-cerise....

Une fillette de trois ans est entre la vie et la mort après avoir avalé une tomate-cerise....

Une fillette de trois ans s'est étouffée avec une tomate-cerise à l'heure du déjeuner. Elle a été transportée par hélicoptère à l'hôpital universitaire de Nancy.

Le mercredi 23 février 2022, une petite fille a failli mourir à l'heure du déjeuner. La raison en est un aliment que beaucoup d'entre nous aiment manger. Alors que la petite fille de trois ans prenait place à la table de la salle à manger de sa maison de la rue Mozart à Hettange-Grande, une petite commune au nord de Thionville en Moselle, elle s'est étouffée avec une tomate cerise. Cette information a été rapportée par Le Républicain Lorrain.

Après avoir porté l'aliment à sa bouche, la fillette a très vite été incapable de respirer. Elle aurait alors été victime d'un arrêt cardiaque. Heureusement, les secours ont réussi à la réanimer après leur arrivée. L'état de santé de la jeune fille a toutefois été jugé préoccupant, comme l'ont rapporté nos collègues. Le personnel hospitalier présent sur place a donc demandé l'intervention de l'hélicoptère du Samu Lorraine pour transférer l'enfant vers le CHU de Nancy. Aucune autre information n'a été transmise pour l'instant.

Ce drame rappelle l'histoire d'Antoine, quatre ans et demi, originaire de Lalbenque, dans le sud du Lot, qui avait également été sauvé in extremis de l'asphyxie alors qu'il mangeait des tomates cerises avec sa grand-mère. Dans une telle situation, la mère a eu le bon réflexe d'alerter les voisins. L'un de ses voisins, un pompier volontaire, s'est précipité et a sauvé la vie du garçon.

"Il s'agissait d'un blocage des voies respiratoires du garçon. C'est un accident stupide qui arrive malheureusement souvent. Lorsque les voies respiratoires sont complètement bloquées, l'air ne passe plus dans les poumons et la mort survient en quelques minutes si l'on n'agit pas rapidement", expliquait alors le service départemental d'incendie et de secours (SDIS) du Lot. Ces propos ont été repris par le journal La Dépêche.

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