Il y a quelques mois, Logan Mwangi, âgé de cinq ans, avait été retrouvé allongé dans la rivière Ogmore, près de sa maison à Bridgend, dans le sud du Pays de Galles. Après quelques examens, les scientifiques avaient constaté de "graves blessures", comme le rapportait le Sun. Celles-ci étaient comparables à une chute de grande hauteur ou à un accident de voiture "à très grande vitesse". Outre un traumatisme des organes internes et du cerveau, plus de 50 blessures externes ont été constatées au visage, au tronc et aux quatre membres. Le jour de sa découverte, sa mère, Angharad Williamson, 30 ans, avait signalé sa disparition.
Alors qu'elle avait endossé le rôle de la mère éplorée, elle est aujourd'hui considérée comme le principal suspect dans cette affaire. Elle est notamment accusée de meurtre, qu'elle aurait mis en scène avec son conjoint de 40 ans, John Cole, et un garçon de 14 ans. La Couronne de Cardiff a appris que Logan était un enfant "bavard, poli et gentil" qui n'aurait "eu aucune chance" contre ses agresseurs.
Les auteurs auraient agi le samedi 31 juillet 2021. Ils auraient d'abord assassiné l'enfant, puis inventé une histoire pour dissimuler la mort du garçon. "Selon l'accusation, Logan est mort des suites d'une agression brutale ... L'usage de la force a provoqué les blessures catastrophiques retrouvées à l'autopsie", a déclaré Caroline Rees à nos confrères. Après avoir battu Logan à mort, John Cole et l'adolescent ont déposé le corps au bord de la rivière avant de se débarrasser du pyjama ensanglanté. Selon les sources du Sun, la mère était parfaitement consciente de la situation.
Pendant que son compagnon s'occupait du corps, Angharad Williamson a signalé la disparition de son fils et a tenté d'accuser une femme qu'elle connaissait de l'avoir enlevé. Quelques jours avant la tragédie, la mère du garçon avait été vue en train de se battre avec l'adolescent. Aujourd'hui encore, le procès se poursuit et les accusés continuent de nier le meurtre.
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