Vaimalama Chaves en émoi après une agression

Vaimalama Chaves en émoi après une agression

Quelques mois après son agression, Vimalama Chaves devra faire face à la justice. Un détail lui fait peur, comme elle l'explique sur Instagram.

En septembre dernier, Vaimalama Chaves a raconté son calvaire après avoir été agressée dans la rue par un groupe de jeunes. "Chères femmes, aujourd'hui je suis en colère, je suis en colère parce que j'ai été agressée. J'ai été agressée par un groupe de moins de 18 ans, donc ce n'est pas condamnable, mais ce n'est pas normal. Pourquoi devrions-nous nous taire ? Je suis déçu de ne pas savoir quoi faire. (...) Au début, ils m'ont jeté des pierres (...) Quand j'ai confronté celui qui avait fait ça, ils se sont regroupés autour de moi (...) Ils ont essayé de me voler mon téléphone portable et se sont amusés à me jeter d'autres pierres quand je partais. Ils m'ont entouré quand j'ai essayé d'appeler le numéro 17. Je dis non (...) La Polynésie m'a appris la douceur et la gentillesse, mais ici à Paris, tous mes acquis n'ont pas leur place. Le respect n'existe pas. La tolérance non plus (...) Je ne veux pas que quelqu'un d'autre vive ça", a expliqué l'ancienne candidate de Danse avec les stars 11.

D'ailleurs, ce mardi 15 février 2022, il y a eu une mise à jour dans cette histoire puisque Vimalama Chaves a reçu une convocation au tribunal en tant que partie civile. Il semblerait que la belle brune ait été très contrariée par tout cela, car elle a d'abord déclaré : "Je ne sais pas du tout comment réagir, parce que ce sont des enfants. Oui, c'était une agression, oui, j'étais en colère (...) Qu'est-ce que je peux faire ?

Quelques heures après son appel à l'aide, Vaimalama Chaves s'est décidée et l'a fait savoir à sa communauté, car elle a ajouté : "Pour être honnête, j'ai lu tous vos messages. Le sujet est réel et je ne me sens pas coupable. Je n'ai pas non plus l'intention de retirer ma plainte. Je me dis que ce sont des enfants, mais certains d'entre vous l'ont souligné. Ce ne sont plus des enfants. Ce sont des mineurs. Des jeunes qui savent ce qu'ils font, qui savent qu'il y a des limites, et qui ne l'ont peut-être pas vraiment vécu. Pour moi, mais surtout pour tous ceux à qui cela est arrivé, et par respect pour ce qui nous est arrivé, je vais terminer ce qui a été commencé. Je vous remercie pour tous vos messages de soutien, vos conseils et votre chaleur. Je continuerai à faire ce que je pense être juste. Alors merci". C'est tout !