Vaimalama Chaves en colère, l'ex-Miss France s'insurge contre la vaccination et c'est violent : "C'est du chantage !"

Vaimalama Chaves en colère, l'ex-Miss France s'insurge contre la vaccination et c'est violent : "C'est du chantage !"

Vaimalama Chaves a beaucoup à dire ! Sur Instagram, l'ancienne reine de beauté s'est exprimée cette semaine sur la crise sanitaire. La jeune femme a un avis très tranché sur les vaccins...

Le week-end dernier, Diane Leyre a été élue Miss France ! Dans la tourmente, la nouvelle protégée de Sylvie Tellier n'a pas hésité à prendre la défense du fameux comité entaché par d'innombrables polémiques. Mais elle n'est pas la seule à vouloir se faire entendre sur des sujets qui lui tiennent à cœur. Vaimalama Chaves est en effet connue pour son franc-parler. Dans les médias et sur Internet, la jeune femme répond toujours sans détour. Récemment, elle a partagé son point de vue sur la crise sanitaire via sa story. Pour elle, il s'agit de chantage ! "Aujourd'hui, on dit qu'elle réduit tout de même le risque de contractions, de transmissions et d'hospitalisations, et pourtant je me sens trahie", a-t-elle expliqué sur les réseaux sociaux. Vaimalama Chaves estime que les citoyens se font vacciner par obligation, pour préserver leurs privilèges... et non par conviction !

"Deux doses au début, une troisième est obligatoire, sinon on perd son passeport santé à partir du 15 décembre. C'est du chantage, je déteste ça ! Devrons-nous nous faire vacciner autant de fois qu'il y a de variantes ? Un jour, ça suffira. 2, c'est déjà trop", s'est insurgé la star, qui a l'impression d'être "un cobaye pour une science incontrôlée".

Cette année, la pandémie aura bouleversé le quotidien de nombreuses personnes. Dernièrement, l'élection de Miss Monde a été reportée en raison de cas de contact entre les candidates et les équipes techniques. Le spectacle pourrait avoir lieu dans 90 jours au Jose Agrelot Coliseum de Porto Rico. Pour l'instant, la prudence est de mise. "La prochaine étape, selon les experts médicaux, est une mise en quarantaine immédiate jusqu'à ce que des observations et des tests supplémentaires soient effectués, conformément aux meilleures pratiques dans des situations comme celle-ci", a indiqué l'organisation dans un communiqué de presse. "Ce n'est que lorsque, et seulement lorsque, les participants et le personnel auront reçu l'approbation des fonctionnaires et des conseillers de santé qu'ils pourront rentrer dans leur pays d'origine". Affaire à suivre...