Un chroniqueur de "TPMP" est accusé de racisme pendant l'émission, ce qui provoque une grande agitation sur le plateau !

Un chroniqueur de "TPMP" est accusé de racisme pendant l'émission, ce qui provoque une grande agitation sur le plateau !

L'ambiance s'est enflammée sur le plateau de "TPMP" ! Mardi, un chroniqueur emblématique de l'émission présentée par Cyril Hanouna a été accusé de racisme anti-blanc.

L'émission Touche pas à mon poste a accueilli hier un homme qui a dû être ravi d'y participer. Gilles Verdez, chroniqueur bien connu de l'émission présentée par Cyril Hanouna et diffusée sur C8, en a pris pour son grade mardi soir. Le journaliste a été accusé de racisme anti-blanc par la polémiste Elisabeth Lévy. "Je ne dirais pas que vous êtes un raciste anti-blanc, je dirais que vous ne le voyez pas", a-t-elle commencé, avant d'évoquer le face-à-face entre Gilles Verdez et Thaïs d'Escufon, ancienne porte-parole du mouvement "Génération identitaire". Thaïs d'Escufon était l'invitée de "TPMP" la semaine dernière pour témoigner après avoir été victime d'une agression à son domicile. Lorsque la jeune femme a précisé les origines tunisiennes de son agresseur, le ton était rapidement monté sur le plateau de "TPMP".

Il y a environ un an, je me trouvais à ce même endroit sur la scène de "Balance Ton Post". J'avais donné un chiffre : 63% des agressions dans les transports en commun en Ile-de-France étaient commises par des étrangers. Excusez-moi, Cyril, je vous remercie de m'avoir invité, mais à l'époque vous m'aviez dit que je n'avais pas les chiffres et que vous ne me croyiez pas. Eh bien, j'ai les chiffres ici. J'ai décidé d'en parler parce que j'en ai assez de ce tabou", a déclaré Thais d'Escufon, avant de lancer une phrase choc : "Chaque fois que j'ai été harcelée, insultée ou irrespectée dans la rue, dans mon cas, c'était systématiquement par des non-blancs". Cette phrase avait fortement déplu à certains chroniqueurs de TPMP, dont Gilles Verdez.

Mardi, Elisabeth Lévy n'a pas hésité à le pointer du doigt. "Pour vous, le racisme est toujours à sens unique. Il n'y a que des gens de la diversité, des Arabes et des Noirs, qui sont victimes du racisme, mais jamais coupables. Et votre réaction à l'égard de Thaïs m'a complètement abasourdi. D'abord parce que vous passez vos journées à dire qu'il faut écouter les victimes, écouter les victimes ? Avant même d'avoir la moindre preuve, il faut les croire. Comme par hasard, vous ne sembliez pas tellement l'écouter. Quand elle a commencé à expliquer que son agresseur était tunisien, vous avez crié. Comme si c'était vraiment horrible de dire des choses pareilles", a déclaré Elisabeth Lévy avant de s'en prendre également à Benjamin Castaldi. L'ancien présentateur de "Secret Story" a immédiatement réagi, rappelant : "Pour Thaïs D'Escufon, nous n'avons pas remis en cause son agression. Nous avons remis en cause son discours après l'agression". "Oui, vous avez remis en cause le fait qu'elle précise que son agresseur était tunisien", a lancé Elisabeth Lévy. Benjamin Castaldi s'est défendu : "Non, nous avons remis en cause son discours après l'agression, en mettant en avant des chiffres dont on ne sait même pas où elle les a trouvés".

De son côté, Gilles Verdez a également eu l'occasion de répondre à celle qui l'avait accusé de racisme anti-blanc. "Je n'ai pas remis en cause le drame qu'elle a vécu. D'ailleurs, il y a une enquête judiciaire. J'ai dit que je trouvais choquante la confrontation de ce drame avec ce que je considérais comme une récupération politique, avec des statistiques qu'elle avait prévues. Cela m'a dérangé", a-t-il expliqué.

Voir aussi : Sylvie Tellier : la révélation inattendue de Gilles Verdez !