Tex, viré après sa blague sexiste, assume et règle ses comptes dans TPMP !

Tex, viré après sa blague sexiste, assume et règle ses comptes dans TPMP !

Tex était l'invité de "TPMP People" samedi et est revenu sur la fameuse blague qui lui avait valu d'être viré de France Télévisions.

Une blague au goût amer... Le 30 novembre 2017 dans "C'est que de la télé" sur C8, Tex était sans doute à des années-lumière de se douter de l'impact de la blague qu'il allait raconter devant des milliers de téléspectateurs : "Les gars, vous savez ce qu'on dit à une femme qui a déjà les deux yeux dans le beurre ? On ne lui dit rien, on lui a déjà expliqué deux fois !", avait-il lâché sur scène. Cette séquence, qui avait été signalée des centaines de fois au CSA, avait rapidement donné lieu à un énorme "bad buzz". Quelques jours plus tard, le trublion, qui animait depuis 17 ans les "Z'amours" sur France 2, avait été licencié par la direction de France Télévisions. Depuis, Tex s'est fait très rare à la télévision et l'homme de 61 ans ne souhaite pas forcément revenir éternellement sur cet épisode douloureux pour lui.

Samedi 19 janvier, l'humoriste, actuellement en tournée, était l'invité de Matthieu Delormeau dans "TPMP People". Sans surprise, Tex a toutefois été invité à revenir sur cette blague qu'il n'est pas prêt d'oublier. Mais loin de la renier, Tex a affirmé qu'il l'assumait pleinement et qu'il ne la regrettait pas. "Les blagues que nous faisons ont toutes, plus ou moins, un aspect pédagogique. C'est compliqué de le dire, car cela reviendrait à expliquer le métier d'humoriste. On ne fait pas des blagues par hasard. S'il y a quelque chose de chaud, on doit le faire. C'est notre métier. On est quasiment obligé d'y aller, on ne peut pas s'en priver. Nous servons à servir la soupe. Dépêchons-nous de rire des choses sérieuses avant de devoir en pleurer", a-t-il réagi. Dans la foulée, Jean-Christophe Le Texier, de son vrai nom, a déploré l'époque actuelle : "Je pense que ce n'est pas une erreur de faire cette blague. Je regrette les proportions que ça prend autour d'une blague, c'est ça que je regrette. Je regrette la légèreté de l'époque et le fait que nous étions dans un pays libre. Nous sommes en train de perdre tout cela".