"On ne peut pas...", "TPMP" accusé d'être d'extrême droite, une ancienne chroniqueuse en colère se défoule !

"On ne peut pas...", "TPMP" accusé d'être d'extrême droite, une ancienne chroniqueuse en colère se défoule !

En 6-7, Benjamin Castaldi est revenu sur les propos de Claire Sérail qui ont irrité Francesca Antoniotti.

Mercredi 2 février, Claire Sécail, chercheuse au CNRS, a déclaré sur France Inter que depuis septembre dernier et jusqu'au 22 avril, elle avait visionné "210 heures d'émission, dont quelques Face à Baba et quelques Balance ton poste" et qu'elle en avait conclu que Cyril Hanouna accordait trop de temps d'antenne à l'extrême droite.

Selon elle, les sujets politiques couvrent en moyenne 17 % de son émission quotidienne. Sur ce total, 52,9 % sont consacrés à des candidats d'extrême droite. "Ce n'est pas vrai. Beaucoup disent que c'est 53% du temps d'antenne de 'TPMP', alors que le temps d'antenne politique ne représente que 17% de l'émission, donc c'est seulement 8,5% de l'émission totale", a répondu Baba dans l'émission du 1er février. Deuxièmement, "on ne va pas se mentir. Éric Zemmour est toujours un succès d'audience", a-t-il poursuivi. "On va donc parler d'Éric Zemmour, pourquoi ? On ne va pas se mentir, c'est celui qui fait le plus parler de lui aujourd'hui". Claire Sécail a ensuite tweeté ironiquement : "Ivre, elle décide de diffuser le soir même la séquence de TPMP où elle laisse méchamment se ruiner sa réputation et celle de toute l'institution qui la paie honteusement pour regarder la séquence de TPMP où elle ruine sa réputation".

Sur le plateau de 6 à 7, animé par Benjamin Castaldi, Francesca Antoniotti s'est agacée de ses propos. "On peut tout reprocher à Cyril, mais de laisser autant de place à l'extrême droite. C'est incroyable quand on connaît ses valeurs...", a-t-elle déclaré, assez remontée. "On a l'impression que plus l'émission a du succès, plus on essaie de la traîner dans la boue. C'est un vrai faux procès (...) Le vrai problème, c'est que ça dérange ceux qui ont la carte, ceux qui sont censés parler de politique...".