Dans un peu plus d'une semaine, Nikos Aliagas reprendra les commandes de The Voice, pour une onzième saison qui s'annonce déjà mémorable, notamment avec l'arrivée de Nolwenn Leroy. En attendant le lancement de la célèbre émission, qui sera diffusée sur TF1, l'animateur sera mis à l'honneur dans un documentaire qui sera diffusé le 9 février sur TMC. A cette occasion, il reviendra sur un moment difficile qui a touché toute sa famille au moment de sa naissance.
Alors qu'il venait de montrer le bout de son petit nez, les médecins ont annoncé une terrible nouvelle à ses parents. Nikos Aliagas souffrait d'une malformation de l'intestin grêle. Mais les choses n'en sont pas restées là. Vu la gravité de cette anomalie, ils ont dû attendre trois mois avant de pouvoir l'opérer et l'hospitaliser. Pour son interview au Monde, l'animateur est revenu sur une personne clé de cette époque, retrouvée il y a quelques années. "Il y a cinq ou six ans, j'ai rencontré la chirurgienne qui m'avait opéré. Elle n'en revenait pas : 'Mais comment vivez-vous ? C'est une sacrée question ! Comment je peux le faire. Bien sûr, tout cela est passé dans mon inconscient. Pour mes parents, chaque jour supplémentaire était un jour de gagné. Cette épée de Damoclès explique pourquoi j'ai été couvé et surprotégé, mais aussi mon envie de vivre à cent à l'heure. La vie est trop courte pour se poser des questions. Au fond, j'ai passé toute ma vie à essayer de survivre".
Ce n'est pas la première fois qu'il revient sur cette période de sa vie, puisqu'il en avait déjà parlé dans l'émission C à vous en 2015. "Je suis né en 1969 à Paris et j'avais à l'époque une malformation assez grave. Et j'ai été opéré à l'hôpital des enfants malades. Je pense que si j'étais née en province, en Grèce, à l'époque, j'aurais eu un peu moins de chance. J'ai survécu, mais j'ai quand même passé plusieurs mois entre la vie et la mort, sous verre", a raconté Nikos Aliagas.
Heureusement, cette première terrible épreuve de la vie l'a endurci et a fait de lui l'homme talentueux et souriant que nous aimons tant !