Mort de Mava Chou : l'enquête sur le suicide de la youtubeuse est enfin ouverte, perquisition au domicile de l'ex-petite amie

Mort de Mava Chou : l'enquête sur le suicide de la youtubeuse est enfin ouverte, perquisition au domicile de l'ex-petite amie

Trois mois après la mort tragique de Mava Chou, son ex-mari Adrien Czajczynski a été "perquisitionné et entendu" par la gendarmerie, suite à l'ouverture d'une enquête sur son suicide.

Le 22 décembre, les fans de Mava Chou ont découvert avec effroi que la youtubeuse s'était suicidée quelques jours avant les fêtes de Noël. La mère de quatre enfants ne pouvait plus supporter le harcèlement en ligne dont elle faisait l'objet depuis plusieurs mois. De nombreux détracteurs l'ont accusée de maltraiter ses propres enfants, et son nouveau compagnon a été tenu pour responsable de son comportement inapproprié envers ses enfants.

Selon les proches de la belle blonde, ce harcèlement a commencé après sa séparation très médiatisée d'avec son ex-mari Adrien Chou, de son vrai nom Adrien Czajczynski, qui est le père de ses enfants. Depuis leur séparation, c'était la guerre sur les réseaux sociaux. Les fans de l'homme n'avaient pas hésité à s'en prendre à Mava Chou. De son côté, elle avait porté plainte à cinq reprises contre son ancien compagnon, qui était selon elle à l'origine de ce déferlement de haine.

Même si ces plaintes n'avaient pas abouti à l'époque, ce terrible incident a mis en branle les autorités de poursuite pénale, puisqu'une enquête a été ouverte à la demande de l'entourage de la mère. Ses proches accusent "le jeune homme d'avoir attisé la campagne de haine en ligne dont elle a été victime", comme le rapporte le journal Le Parisien.

Il faut dire que le cyberharcèlement est puni par la loi de deux ans de prison et de 30.000 euros d'amende. La police aurait "perquisitionné et entendu" Adrien Czajczynski dans le cadre de l'enquête ouverte cette semaine, puisque "les enquêteurs disposent désormais de l'ensemble du matériel informatique du vidéaste et des différents téléphones portables de son foyer, dont ceux de ses enfants".

Pour rassurer les internautes, le principal accusé a pris les choses avec humour en déclarant via le profil de son chien : "Coucou c'est Cacahuète, juste pour vous prévenir que mon maître (...) va bien, il a eu un pépin avec son téléphone et a dû recommander une carte et racheter un super (smartphone). Pas de panique !". Il a ensuite précisé sur son vrai compte : "Peu importe ce qui s'est passé (pendant son absence). Vous pouvez inventer tout ce que vous voulez. J'ai dormi dans mon lit, je suis chez moi, tout va bien". Il est également accusé d'être à l'origine d'un compte Twitter qui attaque massivement Mava Chou. L'affaire se poursuit donc.