Magali Berdah, 40 ans, dirige l'une des agences d'influence les plus connues et les plus rentables de France. Connue pour être la "mère" protectrice de nombreuses stars de la téléréalité, présentatrice et chroniqueuse TV, elle vient également de se lancer dans une carrière politique. Sa carapace de femme forte cache cependant quelques blessures du passé, comme elle vient de le révéler à Jordan de Luxe.
Dans cette rare interview, la mère de famille s'est d'abord confiée sur son amour pour la chirurgie esthétique. "Je ne m'aimais pas, c'est hyperpersonnel. J'ai fait mes pommettes, mes cernes, ma bouche, des injections partout sur le visage", a-t-elle avoué avant de donner des détails sur les sommes dépensées pour remodeler certaines parties de son corps.Dans un livre paru en 2018 et intitulé "Ma vie en vrai", Magali Berdah a évoqué le jour où elle a été enlevée par son père alors que ses parents étaient séparés. Son père était alors réapparu du jour au lendemain et l'avait enlevée : Quand j'avais huit ans, mon père s'est arrogé certains droits qu'il n'avait pas. Nous avons été retrouvés dans une école avec la police... C'était compliqué", a-t-elle expliqué.
Ces révélations n'avaient pas plu à son père : "J'ai écrit un livre. Il m'avait d'ailleurs gentiment attaquée lors de la publication de mon livre. Il sait ce que je fais. Il m'a poursuivie en justice pour diffamation", raconte Magali Berdah. Heureusement pour moi, ma grand-mère avait conservé tous les dossiers juridiques et judiciaires dans sa cave. J'ai donc retrouvé toutes les plaintes, les constats d'huissier, tout, tout, tout. Suite à cela, il a retiré sa plainte", révèle-t-elle.
Aujourd'hui, la femme d'affaires n'a plus de contact avec son père : "Finito pipo. Je pense qu'il y a des situations qu'il faut éliminer de sa vie pour pouvoir mieux vivre. Et je pense que ce n'est pas une personne qui me correspond. Je pense que c'est une personne qui est malade". Pour conclure, la jolie blonde a révélé que l'enlèvement lui avait permis de retrouver sa mère : "Parce que mes grands-parents, qui n'avaient pas officiellement la garde de moi, ont dû se tourner vers ma mère. Suite à cela, elle est revenue me chercher...".