Comme beaucoup d'autres stars, Alizée est très active sur ses réseaux sociaux. Notamment sur Instagram. Ses fans ont l'occasion de découvrir ses futurs projets, ses voyages et ses looks actuels, sans oublier les moments privilégiés avec sa famille. À la ville, l'artiste est l'heureuse mère de deux enfants. La fille aînée, prénommée Annily, est le fruit de son ancienne relation avec Jérémy Chatelain. La fille cadette, Maggy, est issue de sa relation avec le célèbre danseur Grégoire Lyonnet. En Corse, les tourtereaux sont professeurs de danse. Alizée n'a visiblement pas envie de relancer sa carrière de chanteuse - du moins pas pour le moment. "Je n'ai pas de pronostic sur mon avenir de chanteuse. En fait, ce n'est pas l'envie qui n'est plus là, mais ce que j'ai fait il y a 20 ans me semblerait tellement compliqué maintenant", a-t-elle avoué dans le magazine Elle. "J'ai trouvé une direction qui me plaît vraiment beaucoup, c'est la danse, c'est l'enseignement, c'est aussi profiter de ma famille (...)".
En parallèle, Alizée profite habilement de sa notoriété pour s'engager dans des causes qui lui tiennent à cœur. Lundi 10 janvier 2022, l'interprète de "Moi... Lolita" a de nouveau utilisé son compte Instagram pour sensibiliser ses abonnés à la pandémie et à ses répercussions sur la vie quotidienne. Via sa story, la star a diffusé la lettre ouverte d'une assistante en pharmacie, particulièrement touchée par la crise sanitaire. "Je suis aide-pharmacienne. Et aujourd'hui, rien ne va plus. Les protocoles de santé changent constamment. Les patients sont perdus, et nous aussi. Les patients sont fatigués, angoissés, en colère, énervés, et moi aussi. On ne peut pas tout faire", peut-on lire dans le post. "On ne peut pas tester toute une école à 19 heures parce qu'il y a un cas positif dans chaque classe. Je suis devenue celle qui fait pleurer les enfants pour les tester, quel qu'en soit le prix. Les enfants pleurent, se défendent, crient à la mort et sont retenus de force par leurs parents qui sont également à bout. Parfois, je refuse de tester un enfant dans ces conditions, et alors le parent me supplie en larmes de tester son enfant et de lui infliger cette souffrance, sinon il ne pourra pas retourner à l'école et le parent devra travailler, de sorte que l'enfant devra aller à l'école le lendemain. Parfois, l'enfant est positif, et je vois alors les parents paniquer, pleurer, gronder,punir et menacer l'enfant parce qu'il "n'a pas été assez attentif à l'école" (...). Parfois, je dois refuser de tester parce que je n'ai pas le temps. Parfois, je suis agressée, insultée et j'ai l'impression d'être jetée en pâture aux loups (...) Une fois de plus, ce sont les enfants qui paient pour la folie des adultes". Un témoignage bouleversant qui en dit long...
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