Léa Salamé : cette raison étonnante a poussé la présentatrice à mentir sur sa grossesse !

Léa Salamé : cette raison étonnante a poussé la présentatrice à mentir sur sa grossesse !

Invitée du podcast "InPower", la journaliste et animatrice Léa Salamé a révélé qu'elle avait menti sur sa première grossesse afin de pouvoir couvrir les élections présidentielles de 2017.

Léa Salamé n'est pas au chômage. L'ancienne chroniqueuse d'"On n'est pas couché" enchaîne les projets à la télévision, mais aussi à la radio. Sur France Inter, elle mène depuis 2014 l'interview politique de 7h50. Elle a également dirigé pendant deux saisons l'émission "Femmes puissantes". A la télévision, Léa Salamé a dirigé l'émission "L'émission politique", remplacée depuis par "Vous avez la parole". Les fidèles téléspectateurs de France 2 la retrouvent également à la tête de "Stupéfiant !" et "On est en direct".

Autant de projets qui laissent peu de temps à la vie privée. En couple avec l'essayiste Raphaël Glucksmann, Léa Salamé est la maman d'un petit garçon prénommé Gabriel, né en mars 2017. Un heureux événement qui s'est produit quelques semaines seulement avant les élections présidentielles, que la journaliste a tenu à couvrir. Une raison pour Léa Salamé de mentir sur son congé maternité, comme elle l'a révélé dans le podcast "InPower". "J'ai accouché en pleine campagne présidentielle et j'ai repris l'antenne trois semaines et demie plus tard", a-t-elle expliqué à Louise Aubery.

Pour assurer l'élection présidentielle de 2017, Léa Salamé a décidé d'écourter son congé maternité. "J'ai même menti car je voulais absolument faire la campagne présidentielle. Nous étions à un mois de l'élection et je voulais le faire. (...) Théoriquement, je n'aurais pas pu revenir", a rapporté la journaliste, ajoutant : "Je me sentais prête physiquement, soutenue par mon compagnon, une nounou et ma mère". Consciente que son cas est particulier, Léa Salamé conclut : "Je voulais revenir. Ce n'est pas le cas de la majorité des femmes. En général, elles ne veulent revenir que six à huit semaines après l'accouchement. Il faut laisser cette liberté aux femmes". Une prise de position ferme !

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