Benjamin Castaldi a marqué le monde de la télévision à sa manière. Par le passé, l'ex-mari de Flavie Flament a présenté d'innombrables émissions à succès. Parmi elles, Loft Story, La Nouvelle Star et Secret Story. Actuellement, il est chroniqueur dans Touche pas à mon poste. Mais il lui arrive aussi d'animer l'émission lorsque Cyril Hanouna n'est pas présent. Preuve que le père de Lino et Bianca a une confiance totale en lui.
Chaque semaine, le célèbre talk-show fait passer de bons moments à C8. A 52 ans, le fils de Catherine Allégret a déjà fait du chemin au cours de sa carrière. Grâce à ses anciens contrats, la star a également touché le jackpot. Malheureusement, l'heureux père de quatre enfants a plutôt mal géré son ancienne fortune ? Aujourd'hui encore, il doit régler d'importantes dettes !
"Je suis en train d'éponger mes dettes...".
Grâce à son travail pour C8, Benjamin Castaldi gagnerait environ 20.000 euros chaque mois... Cependant, comme il l'a souligné, son salaire est réduit à 1600 euros à cause des huissiers. "À la fin du mois, il ne me reste rien", a avoué le petit-fils de Simone Signoret sur le plateau de TPMP en 2021. Cette semaine, Benjamin Castaldi a accordé une interview exclusive au magazine Jordan De Luxe. À cette occasion, il a levé le voile sur sa situation financière. "Aujourd'hui, 70% de ce que je gagne hors impôts contribue à rembourser mes dettes", a expliqué celui qui avait autrefois possédé une "Ferrari", une "Aston" et une "Porsche".
Selon ses propres dires, le chéri d'Aurore Aleman commence à sortir la tête de l'eau. "Je suis en train de me désendetter, mais c'est encore un peu dur", a-t-il déclaré. Benjamin Castaldi a heureusement pu compter sur le soutien de ses proches. Cyril Hanouna n'a pas hésité à lui tendre la main au moment où il était le plus mal en point.
"Heureusement que je gagne très bien ma vie, parce que si ce n'était pas le cas, je serais à la rue", a ajouté Benjamin Castaldi avant de conclure : "Je n'ai pas le droit au chômage, je n'ai le droit à rien [...]. Sans TPMP, je serais à la rue [...]".
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