L'amour est dans le pré est de retour depuis le 14 février dernier pour une nouvelle saison 17. Depuis une semaine, les téléspectateurs découvrent les portraits des nouveaux agriculteurs qui, dans cette édition, sont à la recherche de l'amour. C'est ainsi qu'ils ont fait la connaissance de Jean-Paul, un viticulteur de la région Grand-Est. Ce septuagénaire est veuf depuis 2012, date du décès de sa femme Bernadette. Heureusement, il peut compter sur le soutien et la présence de sa fille Emmanuelle, 42 ans. Ensemble, ils travaillent sur le vignoble acheté par Jean-Paul.
Et ils ont également trouvé l'amour ensemble ! Une grande première dans la célèbre émission de M6. Jean-Paul a ainsi annoncé qu'il cherchait la dernière compagne de sa vie : "une femme célibataire entre 55 et 70 ans, dynamique, intelligente, élégante, avec du charisme et du caractère". De son côté, sa fille aimerait trouver "un célibataire avec une aura positive, protecteur, attentionné, avec ce petit côté bad boy qui la fait craquer". La jeune femme de 42 ans est passionnée de cuisine et aime préparer de bons petits plats pour sa famille et ses amis. En raison de son caractère bien trempé, elle a toutefois du mal à trouver l'amour. Elle a prouvé qu'elle n'avait pas la langue dans sa poche en recadrant la présentatrice de l'émission, Karine Le Marchand.
Alors que les deux femmes parlaient de cuisine, Karine Le Marchand a révélé une anecdote sur une époque où elle avait mangé le fameux pot-au-feu lorrain : "Est-ce que tu t'es déjà pris, en perçant la saucisse qui a bien mijoté, un coup de jus qui te brûle ? Celui qui n'a pas reçu un coup de jus de la saucisse dans l'œil n'est pas un bon Lorrain", a lancé l'animatrice. "Tout ce que j'aime, tout ce qui me fait me sentir bien", a rétorqué la candidate, gênée.
Face à son embarras, Karine Le Marchand a tenté de se reprendre : "Mais j'ai vraiment parlé de la saucisse. Je te le jure une fois", a-t-elle assuré, avant d'évoquer la facilité des Lorrains à "parler de cul avec humour". Emmanuelle répondit un peu sèchement : "Oui, moi non, mais les autres oui. L'humour en dessous de la ceinture, oui, c'est vite fait, ça me fait rire cinq minutes. Mais les grands racistes (sic), c'est juste pas possible. C'est tout.