Lorsque Sylvie Ortega s'exprime sur les réseaux sociaux ou sur un plateau de télévision, c'est généralement le délire ! L'ancienne agent et amie de Loana frappe vite et fort. Cette femme à la gâchette facile fait même parfois des dégâts. "Loana consomme de tout, du crack... comme elle n'a plus beaucoup d'argent pour acheter de la cocaïne, ce n'est plus possible", explique-t-elle. "Je n'ai appris que bien plus tard qu'elle consommait beaucoup de GHB", dit-elle au sujet de l'ancienne Lofteuse. L'ancienne compagne de Ludovic Chancel ne connaît que trop bien les affres de l'addiction, puisque son ancien compagnon est décédé des suites d'une overdose.
Mais la brune incendiaire a également connu des problèmes de santé. Lors de conversations avec ses abonnés Instagram, elle s'est longuement confiée et a révélé qu'elle aussi avait été en mauvaise posture. "J'ai été une grande anorexique pendant des années ... Chaque seconde était une véritable torture ... Des années de thérapies et d'hospitalisations, et non, je ne connais toujours pas la raison", a-t-elle expliqué sur Instagram.
Sylvie Ortega explique comment elle a surmonté l'anorexie.
Après avoir partagé d'anciennes photos montrant son évolution physique liée à la maladie, Sylvie Ortega a expliqué : "Sur ces photos, je venais de prendre 8 ou 9 kilos. Ludo a joué un rôle très important dans ma guérison ... Je ne posterais que ces photos, car les autres pourraient vraiment vous choquer".
"Je ne veux pas trop entrer dans les détails, mais j'ai été nourrie par sonde ... J'ai frôlé la mort à plusieurs reprises ... Je pesais jusqu'à 28 kilos et malgré mon 1,78 m et mes 28 kilos, j'avais une faim de loup. Il m'est arrivé de ne pas manger pendant plus de 30 jours ... Et à l'heure où je vous parle, je ne sais toujours pas comment manger normalement et sainement", ajoutant : "Le Coca-Cola m'a notamment sauvé la mise et oui, je continue à prendre des médicaments pour stimuler mon appétit, car j'oublie souvent de manger. Honnêtement, on peut stabiliser la maladie, mais malheureusement, elle reste toujours un peu enracinée en nous".