Hatik ne cesse d'étonner son public avec ses innombrables projets musicaux. En 2018, l'interprète de "FLK" a conquis les foules avec son opus "Chaise pliante". Son nouvel album "Noyé" connaît également un grand succès dans toute la France. Outre la musique, la star s'épanouit également dans le monde de l'art 7ᵉ. Dans la série Validé, disponible sur Canal +, le rappeur a joué le rôle d'Apash. Son personnage a suscité l'enthousiasme. Mais avant de devenir célèbre, Hatik a connu une terrible descente aux enfers. Par le passé, la star a dû lutter contre ses démons. L'alcool faisait partie de son quotidien. "Ce n'était pas joyeux, je faisais beaucoup de conneries. A la maison, ça n'allait pas avec mes parents, je n'avais pas de petite amie, ce n'était pas la meilleure période de ma vie", a-t-il déclaré au journal français Libération.
Une fois son addiction derrière lui, Hatik a accepté de parler de cette période sombre dans l'émission "En aparté" sur Canal +. "Je n'ai pas de problème de santé", a-t-il déclaré, regrettant que les médias aient "déformé" son histoire. "On passe tous par des phases qui sont un peu plus complexes. Quand j'avais 19 ou 20 ans, je suis beaucoup sorti. En sortant beaucoup, j'ai bu de plus en plus d'alcool, sauf que cela est devenu une addiction. Je buvais tout le temps. J'étais un alcoolique chronique".
Même dans la tourmente, Hatik a continué à se consacrer à son art. Aujourd'hui, il n'a plus "l'envie ou le besoin de boire". Ce nouveau mode de vie lui a fait beaucoup de bien. Au cours d'une séquence, l'interprète de "Buena Noche" a également parlé de la deuxième saison de Validé. Beaucoup de ses fans ont regretté son absence dans les nouveaux épisodes. Cette amertume était également partagée par le principal intéressé.
"Je m'en doutais, mais je ne dirais pas que je le redoutais. Je m'imaginais faire plusieurs saisons...", a-t-il avoué à Nathalie Levy. "À ce moment-là, je me suis dit : 'Tout ce qu'il y a à prendre, je le prends'. C'était une expérience humaine tellement incroyable que je ne voulais pas imaginer que dans un an je ne serais plus là".