"Ils voulaient me décapiter" : nouvelles déclarations choquantes dans l'affaire Ary Abittan

"Ils voulaient me décapiter" : nouvelles déclarations choquantes dans l'affaire Ary Abittan

Ary Abittan est accusé de viol par une femme de 21 ans et a été placé sous contrôle judiciaire. "Sous le choc", a exprimé Bernard Montiel sur le plateau de "Touche pas à mon poste". Parce qu'il a défendu son "ami", le chroniqueur de Cyril Hanouna a reçu des menaces de mort sur les réseaux sociaux.

Ary Abittan dans la tourmente. L'acteur, connu pour ses rôles dans "Coco" et "Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?", fait l'objet d'une plainte pour viol. La plainte a été déposée le samedi 30 octobre 2021 par une jeune femme de 21 ans avec laquelle Ary Abittan entretenait une liaison depuis plusieurs mois. Selon la plaignante, les incidents se sont produits samedi soir dans l'appartement de l'acteur dans le 8e arrondissement de la capitale, près des Champs-Élysées. Selon "Le Point", elle accuse l'humoriste de lui avoir imposé des pratiques sexuelles auxquelles elle n'était pas consentante. Cette version est démentie par l'acteur, qui a passé 48 heures en garde à vue. Après l'arrestation, Ary Abittan a été présenté devant un juge d'instruction qui l'a inculpé de viol et placé sous contrôle judiciaire, a rapporté une source judiciaire.

La nouvelle a fait l'effet d'une bombe. A tel point que l'équipe de Touche pas à mon poste a répondu à C8 en début de semaine. Un ami proche d'Ary Abittan, Bernard Montiel, s'est dit "choqué". Le chroniqueur Cyril Hanouna a également déclaré : "Je peux vous dire que, bien sûr, je ne crois pas à cette histoire, je le défends. Je sais comment il est et comment est sa relation avec les femmes. Il est toujours très correct, c'est un type très correct. Ces commentaires n'ont pas été bien accueillis par les médias sociaux. Mardi 2 novembre 2021, Bernard Montiel a annoncé qu'il avait été menacé de mort après avoir témoigné dans l'affaire Ary Abittan.

"Il hallucine tout ce que j'ai lu. C'est incroyablement violent, jusqu'à la décapitation. Je ne sais pas à quel point ils veulent me décapiter", a déclaré l'ancien présentateur de "Video Gag", avant d'apporter une précision de taille : "Qu'est-ce que j'ai dit hier (lundi 1er novembre) ?". Que c'est mon ami et que je n'arrive pas à croire que je le connais. Je ne sais pas quel était le problème. En dehors de cela, je me fiche de tous ces gens qui sont anonymes sur les réseaux..... Ils n'ont pas compris ce que je disais et l'ont déformé. J'ai pensé à la victime présumée, j'ai pensé à elle en premier si c'était vrai. Il n'y a que cet ami que je défendrai jusqu'au bout, à moins qu'on me prouve que j'ai tort. Si c'est vrai, c'est terrible, que puis-je dire ?

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