L'affaire Illan Castronovo connaît de nouveaux rebondissements. Jeudi 16 décembre, Libération rapportait que deux plaintes avaient été déposées contre le candidat de télé-réalité. Alors que le jeune homme de 28 ans avait clamé son innocence lors de la première mise en examen pour viol et agression sexuelle dans l'émission TPMP, l'étau semble se resserrer autour de lui. Selon les informations de nos confrères, une jeune femme a porté plainte en janvier 2020. Elle raconte qu'Illan lui a demandé à plusieurs reprises de pratiquer une fellation et qu'il a tenté de la violer.
De son côté, Nathanya Sion aurait également pointé du doigt le comportement douteux de la star des "Princes et les princesses de l'amour". "J'ai fini par lui tourner le dos et il a commencé à se masturber à côté de moi. Comme j'avais déjà été violée par le passé, j'étais comme paralysée et je n'ai rien dit, de peur que cela aille plus loin", peut-on lire dans le quotidien.
Jusque-là, les preuves semblaient pourtant manquer. Jonathan Matijas a toutefois affirmé qu'il disposait des éléments nécessaires pour faire condamner l'ex d'Isabeau. Dans une interview récente avec "CheckNews", le compagnon de Shanna Kress a raconté ce qui suit :
"La première fois que Seb m'en a parlé, honnêtement, je ne pensais pas que cela pouvait être vrai. Mais dans le doute, le jour où j'ai appris qu'Illan était en train de répandre des mensonges sur ma vie privée, j'ai appelé Seb pour en savoir plus, dans l'espoir d'obtenir quelque chose qui l'empêcherait de me faire du mal", a d'abord expliqué le sportif avant de raconter son échange avec Sebydaddy :
"Tu ne peux pas comparer tes histoires avec une vidéo de viol avec des enfants [...] la vidéo dont nous parlons, tu peux la mettre en prison [...] C'est tellement gros que ça va finir au tribunal, avec (des questions comme) qui te l'a envoyée, pourquoi, qui sont ces filles là, qui d'autre était à la fête, quand, qui a filmé. [...] Je connais ces deux filles, j'ai des photos d'elles. [...] C'est un risque de foutre en l'air ma carrière".
Jonathan Matijas poursuit son récit : "Je n'avais pas vu la vidéo et je ne l'ai jamais vue, même après cette discussion, je n'y croyais qu'à moitié. Quand Alix a parlé et que d'autres interviews sont remontées, cela a tellement confirmé ce qu'il m'avait dit à l'époque que j'ai compris que ce n'était pas du blabla. Il ne s'agit plus d'une guerre de réseaux puérile, mais de protéger les victimes potentielles. Je sais que cela impliquera une procédure, du temps et des frais. Mais tout cela, je le fais parce que je me sens coupable de ne pas avoir réalisé à l'époque que c'était réel et grave". A ce jour, le jeune homme aurait déposé une lettre de dénonciation auprès du parquet de Nice.