"Il faut être super con" ... Franck Leboeuf perd ses nerfs et explose face à une ouvreuse à Roland-Garros !

"Il faut être super con" ... Franck Leboeuf perd ses nerfs et explose face à une ouvreuse à Roland-Garros !

Invité du podcast "Parents d'abord", Franck LeBoeuf a évoqué le triste jour où il a perdu son sang-froid face à une ouvreuse à Roland-Garros.

Le 2 septembre, Franck LeBoeuf a publié aux éditions Le courrier du livre le livre autobiographique "Y croire pour soi - Une histoire de force et de confiance", dans lequel l'ancien footballeur parle ouvertement de son parcours exceptionnel. Dans ce récit, il met notamment en lumière le côté sombre de la célébrité. A savoir le sentiment soudain d'avoir tous les droits et d'être considéré comme un dieu.

Au cours de sa carrière, le sportif a lui aussi dû faire face à ce soudain besoin de contrôle. Mais bien que le succès lui ait fait tourner la tête, il est aujourd'hui humble. Il se souvient d'ailleurs non sans malaise d'une scène particulièrement regrettable de son passé.

Invité dans le podcast "Parents d'abord" de Télé-Loisirs, Franck LeBoeuf a évoqué le jour où il a insulté gravement une ouvreuse à Roland-Garros. "C'était quelque chose que je regrettais, c'était indécent", a d'abord expliqué la star avant de poursuivre :

"Mais en même temps, je ne comprends pas la logique. Je voulais passer à un endroit et au lieu de faire 300 mètres où les gens auraient pu m'arrêter, je lui ai expliqué : 'Je dois faire dix mètres, je suis avec toute la famille ici, vous me le permettez?' Elle m'a répondu sur ce ton qu'ont les gens qui ont une certaine responsabilité, mais qui se donnent de l'autorité... Franchement, il faut faire attention à la façon dont on parle aux gens. Elle m'a attaqué et c'est vrai que j'ai répondu agressivement à son attaque".

Franck LeBoeuf a ensuite conclu : "Je lui ai dit : 'Il faut être super con pour faire ça. Je préfère faire 10 mètres que 300, je ne mettrai personne dans l'embarras'. Et j'ai eu cette phrase que je regrette. Ma femme, qui n'était pas encore ma femme à l'époque, m'a dit : 'Je t'ai trouvé détestable ce jour-là'. C'était moi et je l'ai regretté".