Gims se trouve toujours au centre d'une grande controverse. Le 2 janvier, le mari de DemDem a demandé à ses fans de ne plus lui souhaiter la nouvelle année. "S'il vous plaît, laissez-moi avec le 'bonne année, nouvelle année', laissez-moi avec ça. Vous savez très bien que je n'y ai jamais répondu, et vous continuez à m'envoyer des 'Happy New Year'. Et puis, les musulmans, arrêtez, nous avons les mêmes convictions ! Ce sont eux qui envoient le plus de vœux pour la nouvelle année. Mes frères, nous ne fêtons pas [...]. Non, les gars, ça ne fait pas partie de nos convictions. Cette déclaration avait fait réagir les internautes.
Dans son message, il ajoutait : "Quand je vois de grands sapins chez Mustafa et Bakari, je vois qu'on ne se concentre pas sur la maison". L'artiste a ensuite été confronté à une vague de haine sur les réseaux sociaux. Mais bien qu'il ait préféré garder le silence, Gims s'exprime enfin. Le 23 janvier, le chanteur de 35 ans s'est exprimé dans le Journal du Dimanche. "Je regrette totalement cette vidéo. C'était un ovni, je n'ai pas l'habitude de communiquer de cette manière. Je ne voulais blesser personne. Pour une fois, cela fait partie de l'intimité. Les réseaux sociaux ne doivent pas servir de tremplin pour en parler. Cela ne change en aucun cas ma relation avec mon public, animistes, bouddhistes, catholiques, musulmans ... La vidéo a été enregistrée spontanément tard dans la soirée. Je suis vraiment désolé".
Gims, qui s'est converti à l'islam au début des années 2000, a ajouté que sa mère était de confession chrétienne, "comme son père ou ses frères". "Il faudrait me mettre un caméraman à côté de moi pendant 48 heures pour voir comment je fonctionne et avec combien de personnes de tous les horizons je suis en contact", a-t-il expliqué avant de conclure : "J'étais fatigué, je venais de regarder de nombreux clichés du Nouvel An et j'étais en train de me ridiculiser". Il reste maintenant à voir si ses paroles auront un impact sur ses fans en colère.