C'est l'une des controverses qui a le plus fait parler en ce début d'année 2022. L'artiste a demandé à ses fans (et notamment aux musulmans) de ne pas lui adresser de vœux pour 2022, arguant que "cela ne fait pas partie de nos convictions [...] Nous le respectons, mais ce ne sont pas nos fêtes". Il en va de même pour les anniversaires : "Je souffre de cela. C'est un pas de plus vers la mort. Nous ne le fêtons pas. Ça ne fait pas partie de nos convictions, allez, on se concentre sur nos propres trucs. Ce n'est pas méchant. Mais restons forts avec nos valeurs". Une sortie qui a suscité l'émoi jusque dans la classe politique.
Je me bats contre la radicalisation, le séparatisme et une forme de communautarisme. Nous parlons souvent de vivre ensemble, cela peut commencer par des formules polies et relativement anodines. Cela demande plus de condamnations", a expliqué Marlène Schiappa. "Maitre Gims est un artiste. Il est écouté, c'est un leader d'opinion. Il a donc une responsabilité dans ce qu'il dit", a-t-elle poursuivi. Valérie Pécresse, qui avait reçu le soutien du rappeur lors de sa campagne pour les élections régionales, a également dû s'expliquer dans l'émission C à Vous sur France 5.
Carla Bruni soutient Gims sur Instagram.
Il y a celle qui ne fait plus vraiment partie de la vie politique publique, mais qui est toujours présente dans les médias. Carla Bruni, ancienne première dame et épouse de Nicolas Sarkozy, a voulu exprimer son soutien au chanteur récemment dénigré. Ce dernier a posté le 12 janvier une vidéo sur Instagram dans laquelle il dévoile les premières strophes d'un nouveau titre. "J'emmène deux personnes en studio pour terminer ce son et apparaître dans le clip ! Un maximum de commentaires sous la vidéo let's fucking go !!!", a légendé Gims. Cette annonce a été reprise par l'ancien mannequin qui a écrit : "Je m'inscris ! Let's go !!"
https://www.instagram.com/p/CYory3ooA3I/
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