Rien ne va plus pour Élodie Gossuin. Face à la crise sanitaire, Miss France 2001 n'en peut plus. La jolie blonde semble avoir beaucoup de mal à accepter les différents protocoles de santé mis en place dans les écoles. Depuis le début de la nouvelle année scolaire, les règles strictes appliquées dans les écoles ne cessent d'évoluer afin de lutter contre la propagation des cas de Covid-19 liés à la variante Omicron. Une situation compliquée pour l'épouse de Bertrand Lacherie.
D'ordinaire très souriante et enjouée, la mère de Rose, Joséphine, Jules et Léonard se montre "à bout de souffle" sur les réseaux sociaux. Très proche de sa communauté, elle n'hésite pas à faire un récit glaçant de son quotidien. Quelques jours seulement après le retour de ses enfants à l'école, la jeune femme a annoncé sur son compte Instagram qu'elle allait devoir "faire l'école à la maison". Deux de ses enfants avaient été infectés par le coronavirus.
Malheureusement, les jours passaient et le problème persistait. L'ancienne miss est d'une humeur "canine". Sur les réseaux sociaux, elle a publié un message qui en dit long : "MultiMood : penser comme un proton, toujours positif. Pensées pour tous les parents et enseignants qui, comme moi, sont au bout du rouleau... Covid, devoirs, antigène, autotest, certificat médical, pas d'école le jeudi ou...". Une évaluation plutôt pessimiste de son emploi du temps. Malgré cette situation, la jeune mère essaie de rester positive. Elle ajoute : "La liste n'est pas exhaustive, mais ... heureuse des petits plaisirs du quotidien, des biscuits faits maison, des "je t'aime maman" et du vin avec lequel je vais bientôt porter un toast à "NOUS".
Depuis quelques jours, les choses se sont d'ailleurs nettement améliorées. Alors qu'Élodie Gossuin organisait une séance de questions-réponses sur son compte Instagram, la star en a profité pour donner des nouvelles. "Dernier auto-test à l'instant OK = école vendredi youpi. Courage à tous les parents". Une bonne nouvelle pour Miss France 2001, qui pourra bientôt reprendre une vie "normale"...