"Drapeau de la démocratie" : Olivier Marchal a mis Jean-Luc Mélenchon dans la panade !

"Drapeau de la démocratie" : Olivier Marchal a mis Jean-Luc Mélenchon dans la panade !

L'acteur et réalisateur Olivier Marchal a été invité à débattre avec le candidat à la présidentielle La France insoumise dans "Face à Baba" sur C8. Il a désormais clairement expliqué son refus.

Invité de l'émission Chez Jordan pour Télé Loisirs, Olivier Marchal a évoqué son actualité, mais aussi sa vie privée. Notamment son amitié avec Cyril Hanouna. "J'ai une affection particulière pour Cyril Hanouna, on s'aime beaucoup, c'est un garçon que j'apprécie beaucoup [...] J'aime bien Cyril parce que c'est un garçon très intelligent, et on a une petite histoire qui fait que je ne cracherai jamais sur ce garçon, il a le mérite d'être là où il est", a-t-il révélé. Cette relation affectueuse avait poussé l'animateur de C8 à inviter l'acteur et réalisateur dans son émission politique "Face à Baba" pour débattre avec Jean-Luc Mélenchon.

Manifestement, l'acteur n'est pourtant pas un grand fan de l'homme qui se présentait à l'époque aux élections présidentielles pour La France Insoumise. "J'ai dit : "Si j'y vais, je vais lui mettre une tarte dans la gueule, donc ça ne vaut pas le coup"", a-t-il expliqué à Jordan De Luxe, avant de se justifier : "Ce que le mec dit sur les policiers, on ne peut pas le dire. Moi, je ne peux pas. J'ai vu l'émission, quand j'étais face à cet homme de la BAC qui était extraordinaire - d'ailleurs j'aimerais bien le rencontrer - je trouve qu'il était d'une élégance et d'une dignité par rapport à ce connard qui est quand même un aboyeur. Moi, par contre, je ne peux pas. Ce type est moche. Il est laid à l'intérieur. C'est un usurpateur, une sorte de dangereux tribun".

Et le beau succès de Jean-Luc Mélenchon au premier tour de l'élection présidentielle (troisième derrière Marine Le Pen et Emmanuel Macron avec près de 22 % des suffrages exprimés N.D.L.R.) ne semble pas avoir comblé le réalisateur. "Oui, malheureusement. Les bras me tombent", a-t-il expliqué avant de conclure : "Je pense qu'en politique, il faut un peu de classe, un peu d'élégance".