Au fil des années, Cyril Hanouna est devenu l'une des figures incontournables du petit écran. Au cours de ses innombrables émissions, il a reçu de nombreuses personnalités connues. C'est le cas par exemple de Marlène Schiappa. En 2019, alors qu'elle est secrétaire d'État à l'égalité entre les femmes et les hommes, la ministre accepte de venir sur le plateau de Balance Ton post. A cette occasion, la principale intéressée a couvert d'éloges Cyril Hanouna.
Pour la femme politique, l'animateur serait le candidat parfait pour animer des débats sociaux et politiques. L'année dernière, Marlène Schiappa a réitéré ses déclarations à son sujet. "En 2022, il devrait co-animer le débat entre les deux tours de l'élection présidentielle", assurait-elle dans les colonnes du quotidien français Le Monde. Ses encouragements ont visiblement convaincu le père de Lino et Bianca, puisqu'il couvre - encore aujourd'hui - la nouvelle campagne présidentielle avec son émission Face à baba. Dans son émission, les candidats - présents sur le plateau - défendent avec ferveur toutes leurs idées face à leurs interlocuteurs.
Pour Chez Jordan, diffusé ce jeudi 24 février sur Télé-Loisirs, Marlène Schiappa s'est livrée à un entretien sincère sur Cyril Hanouna. Si l'on en croit ses déclarations, le duo est très complice au quotidien. "Nous écrivons des textes. Je lui donne mes commentaires. Il doit se dire que je me prends pour sa mère ou sa productrice. Quand je tombe sur l'émission, je lui envoie 'Là, vous êtes bon' ou 'Là, c'est moins bon'. Je lui fais des débriefings", a révélé la jeune maman, qui apprécie beaucoup l'animateur. "J'aime beaucoup Cyril Hanouna. Je trouve que c'est quelqu'un qui a beaucoup de talent.
Pour elle, son passage sur C8 a complètement changé la donne. "A l'époque, on se moquait beaucoup de moi, j'ai même été huée au Sénat par une centaine de sénateurs. Aujourd'hui, je suis très contente que tous mes collègues du gouvernement s'y rendent. Beaucoup d'hommes politiques frappent à la porte", a analysé Marlène Schiappa, soulignant non sans fierté : "Ce n'est pas une vengeance, c'est le karma. J'avais raison, c'est tout".
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