Si PPDA doit faire face à la justice et à des polémiques, il peut compter sur une alliée de poids en la personne de Claire Chazal. Son ancienne collègue de TF1 et "compagne" n'a jamais laissé tomber Patrick Poivre d'Arvor. Même lorsqu'il a été mis en examen pour des faits horribles, comme des agressions sexuelles sur plusieurs femmes. La journaliste avait déjà soutenu l'ancien présentateur du journal télévisé de la première chaîne de télévision. Aujourd'hui, elle l'a fait à nouveau, lors d'une interview qu'elle a accordée au journaliste belge David Barbet pour Télépro et la RTBF.
Déjà en décembre dernier, sur France Inter, elle ne voulait pas croire que son ancien compagnon ait pu avoir un tel comportement avec plusieurs femmes. "L'homme qu'ils décrivent n'est pas celui que j'ai connu, que j'ai bien connu personnellement et professionnellement", se défendait-elle avant d'apporter des "preuves" de ce qu'elle avançait : "L'homme que j'ai sans doute connu aimait séduire, convaincre, aimait avoir une relation forte avec les femmes, durablement, c'est ce qui l'intéressait. Mais il aimait les convaincre et non les contraindre. Ces propos n'ont pas "convaincu" les victimes et les personnes qui considèrent déjà Patrick Poivre d'Arvor comme coupable, même si la justice n'a pas encore rendu son verdict.
Même si plusieurs semaines se sont écoulées depuis son intervention à la radio, Claire Chazal maintient sa position, comme l'ont rapporté nos confrères de Closer. La journaliste a reproché aux médias et à d'autres de "condamner une personne" sans même que la justice ne soit intervenue. "Je suis malheureusement surprise de l'époque dans laquelle nous vivons. Il s'agit de jeter des noms en pâture et de les condamner définitivement sans même que la justice ne soit intervenue", a-t-elle déploré. Si la journaliste défend autant PPDA, c'est parce qu'elle a toujours une bonne relation avec lui. C'est notamment grâce au fils qu'ils ont eu ensemble en 1995 : "Nous parlons bien sûr avec Patrick, nous avons un fils ensemble", a-t-elle assuré en conclusion.