l ne s'agit plus d'un cri du cœur ! En 2023, Capucine Anav changera de nom et dira "oui, je le veux" lorsqu'on lui demandera si elle souhaite devenir officiellement la femme de son compagnon Victor. L'ancienne chroniqueuse de "TPMP", qui démontre depuis quelques mois ses talents d'actrice dans la pièce de théâtre "Le Switch", vit depuis deux ans dans un conte de fées, comme elle l'a annoncé sur ses réseaux sociaux ou récemment dans une interview accordée au journal français "Paris-Match". Selon ses dires, Victor est celui qui lui a fait "redécouvrir l'amour", "l'amour de la vie".
"Victor m'a montré que l'amour peut être sain et heureux. Mieux encore, il doit l'être. Pour la première fois de ma vie, je peux m'imaginer être avec quelqu'un", révèle-t-elle d'abord avant d'ajouter : "Il m'a vraiment sauvée. (Les larmes lui montent aux yeux). Avant lui, j'avais une relation très toxique dans laquelle j'étais sous contrôle. Cela m'a clairement détruite. Il y avait tellement de noirceur... Pour moi, l'amour était synonyme de souffrance. Avant de rencontrer l'amour de sa vie, Capucine Anav n'a pas eu que de belles relations. Lorsque Paris-Match lui a demandé si elle avait été "victime de violences physiques et émotionnelles", elle s'est livrée sans fard et avec beaucoup d'émotion sur le sujet.
"Oui, il y a eu de tout, y compris des humiliations et des rabaissements au quotidien", a avoué la jeune actrice. Elle a poursuivi : "C'est quelque chose dont je ne peux pas encore parler facilement. Tout ce que je sais, c'est que je devais sortir de cette relation, je devais m'en sortir à tout prix. J'ai vécu des choses que je n'arrive toujours pas à comprendre avec le recul". La future Madame Dumas se sent presque coupable à cause de la situation : "On se pose des questions et on se sent coupable. Comment ai-je pu tomber dans un tel piège?'. Mais le schéma du pervers narcissique est bien élaboré et rodé. On y retourne parce qu'on croit qu'il y a de l'amour là-bas, ce qui est un leurre".
Mais c'est maintenant de l'histoire ancienne, comme il le dit, et c'est bien ainsi. "Aujourd'hui, je me suis fait une raison. Et je sais que j'en suis 'guéri' parce que je n'ai pas de rancœur. Je n'en veux pas à la personne, car ce comportement malsain est une maladie. Cette expérience m'a fait passer à côté de beaucoup de belles choses. Mais je ne regrette rien", conclut-elle.
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