"Les nerfs à vif" !
Alicia Aylies en sait quelque chose... La jeune femme de 23 ans a pris la parole pour raconter une dispute qu'elle a eue avec un homme alors qu'elle venait de terminer un shooting à l'hôtel Elysia dans le 8e arrondissement de Paris. "C'est juste moi ou tout le monde est un peu tendax en ce moment ? Je viens de me faire un peu agresser verbalement par un type. Ce type est un fou furieux ! Et en plus pour une chose très, très stupide. Je viens d'arriver à la maison, mais je suis encore énervée et énervée", a-t-elle commencé avant de détailler sa longue histoire. "J'avais fini mon shooting et j'attendais mon Uber en bas de l'hôtel (...) Un type s'est arrêté devant moi et j'ai vu que c'était exactement la même plaque d'immatriculation que sur l'appli, sauf que le dernier chiffre n'était pas le même, mais je ne l'avais pas vu.
Miss France 2017 s'attendait à rencontrer son chauffeur, mais elle est finalement tombée sur une personne qui était tout sauf à l'aise. "Le type sort de sa voiture, commence à me regarder mal et me dit : 'Qu'est-ce que tu veux ? Pourquoi tu me parles ? Je ne comprends pas ce qui se passe, je continue à dire que c'est 'pour Alicia' et il continue. Il s'approche de moi et me dit : "Tu vois un Arabe et tu penses que je suis VTC, mais je suis VTC ?!". Je lui dis qu'il n'a pas besoin de m'agresser (...) Je me suis juste trompé de plaque d'immatriculation. Mais il était toujours descendu de sa voiture et s'est encore plus rapproché de moi".
"Il m'a mal parlé et m'a traitée de raciste".
L'ancienne reine de beauté n'a pas apprécié le comportement de son interlocuteur et a dû montrer les dents. "Je lui ai dit qu'il devait partir avant moi ! Il me parlait mal, me traitait de raciste, me disait que j'avais de la chance d'être une femme parce qu'il me menaçait de me faire du mal (...) Je me suis mise à hurler dans la rue, il est malade ! Et tout ça pour une plaque d'immatriculation ... Est-ce une raison pour se présenter devant moi, me parler en mal et m'agresser verbalement ?", a-t-elle raconté, encore très énervée.
Celle qui a décidé de faire de la musique a souligné : "Ce n'est pas parce que nous sommes des femmes que nous allons rester mignonnes et peureuses, non, non, cette époque est révolue. Nous sommes là et nous allons nous faire respecter !"
Le message est passé !
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