Brigitte Macron : la première dame prend l'initiative face aux fake news transphobes dont elle est victime !

Brigitte Macron : la première dame prend l'initiative face aux fake news transphobes dont elle est victime !

Victime d'une fake news transphobe depuis ce lundi, Brigitte Macron a pris la décision d'engager des poursuites judiciaires.

Il n'est pas toujours facile d'être un personnage public, et encore moins d'être la première dame de France. Depuis l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, Brigitte Macron doit elle aussi faire face à ses propres problèmes. Depuis quelques jours déjà, l'épouse du chef de l'État est la cible d'un hashtag calomnieux. Sur Twitter, #JeanMichelTrogneux est même devenu une tendance. Il s'agit de la théorie selon laquelle la professeure de français et de théâtre à la retraite serait née homme.

Cette idée surprenante refait surface plusieurs mois après la publication d'une série d'articles démontrant que Brigitte Macron est bel et bien née homme. Une fake news transphobe qui trouve pourtant de nombreux soutiens. Brigitte Macron ne compte pas se laisser faire et est bien décidée à riposter. L'épouse du président aurait déjà entamé des démarches juridiques. C'est en tout cas ce qu'a affirmé à Gala Me Jean Ennochi, l'avocat de la sœur de Jean-Claude Trogneux.

Depuis l'arrivée de son mari à l'Élysée, Brigitte Macron n'est pas seulement victime de nombreuses rumeurs, mais aussi d'attaques sexistes. Selon les dernières informations mises en ligne par Marianne, "l'"amorçage" de cette rumeur est parti d'acteurs assez radicaux des réseaux sociaux, évoluant dans la complosphère d'extrême droite", a déclaré Tristan Mendès-France à nos confrères. Le spécialiste des théories du complot assure que le "phénomène assez classique du moteur de l'indignation" a rapidement suivi. "Les gens s'indignent de ces théories qu'ils voient sur les réseaux sociaux et redonnent de la traction aux différents hashtags associés à cette séquence". Selon lui, un autre groupe a également émergé dans cette affaire. Celui des "opportunistes anti-Macron, prêts à tout pour prouver sa corruption, y compris à ternir l'image de sa femme".