Ce n'est pas la première fois qu'un membre de l'équipe de Touche pas à mon poste est victime de menaces sur Internet. Et malheureusement pas non plus pour Christine Kelly. Il y a deux ans, la chroniqueuse a publié un message inquiétant sur Twitter : "Qui a déjà survécu à des mois ou des semaines de menaces de mort au travail ? Merci pour vos témoignages. Cela peut aider". Bien qu'elle ait reçu le soutien de Marlène Schiappa, alors ministre des Droits des citoyens, et de nombreux internautes, son calvaire n'était pas terminé pour autant.
Le 18 novembre, Christine Kelly a de nouveau dénoncé des actes inacceptables sur Twitter : "La volonté de me voir décapitée, la détermination de m'envoyer cela par e-mail ne changeront rien aux idées des uns et des autres. Chacun reste libre. Avec ou sans moi". Dans ce message glaçant, les internautes apprennent que la journaliste a été une nouvelle fois victime d'une menace sordide et qu'elle n'en peut plus.
La volonté de me voir décapitée, la détermination de m'envoyer cela par e-mail ne changeront rien aux idées des uns et des autres. Chacun reste libre. Avec ou sans moi.
- Christine KELLY (@christine_kelly) novembre 18, 2021.
Lors de son arrivée à CNEWS, Christine Kelly avait pourtant clairement indiqué qu'elle était ouverte à diverses critiques à son égard et à l'égard de son travail, jusqu'à la limite des "menaces de mort". Les limites de la liberté d'expression sont la loi". Un message qui n'a visiblement pas été bien reçu...