En janvier dernier, on apprenait que Jean-Jacques Bourdin, visé par une plainte pour agression sexuelle, avait été temporairement retiré de RMC et BFMTV. "Jean-Jacques Bourdin se retire temporairement des antennes de BFM-TV et de RMC à la demande de la direction. Cette décision a été prise afin de ne pas perturber le fonctionnement quotidien de BFM-TV et RMC", a indiqué le groupe dans un communiqué, rappelant que l'animateur de télévision et de radio "conteste vigoureusement les faits dénoncés".
Dans ce tourbillon, le journaliste peut compter sur son épouse Anne Nivat. Venue faire la promotion de son livre La France de face, disponible depuis le 19 janvier, elle n'a pu retenir ses larmes sur CNews à l'évocation de cette affaire. "Personne ne vivrait bien cette situation. Et je suis obligée d'être dans les médias aujourd'hui parce que j'ai ce livre", avait-elle expliqué à Pascal Praud, les larmes aux yeux. "Vous entendez mon émotion ? Je ne sais pas si je vais continuer à écrire des livres. Je ne sais pas si je vais continuer à aller dans les médias. Parce qu'il y a trop de haine. Contre mon mari, mais je la sens aussi contre moi. Et personne ne mérite ça. Personne".
Direction les urgences
En 2018, bien avant que la tempête ne s'abatte sur eux, Jean-Jacques Bourdin et Anne Nivat ont vécu un calvaire moins sympathique. Leurs vacances à Ganges (Languedoc-Roussilon) ont été perturbées parce que l'ancien reporter de guerre, lauréat du prix Albert-Londres en 2000, a fait une mauvaise chute alors que de "grosses jarres" lui tombaient sur le pied. "Je ne toucherai plus seule les grandes jarres style vase d'Anduze pour ne pas qu'elles me tombent sur le pied", avait-elle alors déclaré sur Instagram. "Merci aux urgences de la ville de Ganges, clinique Saint-Louis, dans l'Hérault : super personnel, super urgentistes, super chirurgien...".
Voir ce post sur InstagramUn post