"20 kilos de plus et je serais mort" : l'étonnante confession de Michel Drucker après avoir frôlé la mort récemment

"20 kilos de plus et je serais mort" : l'étonnante confession de Michel Drucker après avoir frôlé la mort récemment

En 2020, Michel Drucker a frôlé la mort après une opération du cœur. L'animateur s'est rétabli pendant plusieurs mois et a finalement réussi à surmonter l'opération sans séquelles. Dans une nouvelle interview, la star française donne des nouvelles de sa santé.

En septembre 2020, Michel Drucker a subi une opération à cœur ouvert et un triple pontage coronarien. Bien que cette lourde intervention se soit bien déroulée, l'animateur avait malheureusement souffert d'une infection par la suite.

"La bactérie, apparemment pas trop méchante, avait infecté le cœur et provoqué une septicémie avec un germe qui avait touché la valve mitrale, mais aussi la rate et le rein [...] Malheureusement, cette bactérie avait aussi touché l'artère de la jambe droite, qu'on aurait pu amputer. Nous avons certes pu l'ouvrir, mais la valve était toujours infectée. Le chirurgien m'a dit : 'On ne peut plus attendre'", a expliqué l'animateur, qui a alors failli perdre une jambe.

Deux ans après son hospitalisation, l'animateur est revenu sur le devant de la scène avec son spectacle "De vous à moi" et a repris les commandes de son émission "Vivement dimanche" sur France 2. Dans une nouvelle interview accordée à Ciné Télé Revue, il évoque son état de santé. "Je fais une heure de sport par jour : 200 abdos le matin, de l'aviron, 15 km de vélo cardio", a-t-il expliqué. "Grâce à cette discipline de fer, que j'avais déjà auparavant, j'y suis arrivé. Si j'avais eu 20 kilos de plus, je serais mort sur la table d'opération", a-t-il ajouté.

Interrogé sur son retour sur scène, Michel Drucker s'est montré enthousiaste : "Je suis heureux ! Je n'avais joué le spectacle que quatre fois avant le Covid, puis mes problèmes de santé sont arrivés", a-t-il raconté, expliquant qu'il s'agissait d'un "nouveau spectacle, réécrit à 50 %" : "Je me laisse davantage aller. J'ai inclus mon temps passé à l'hôpital. Je ne voulais pas faire comme si rien ne s'était passé alors que le public sait que je suis un survivant".