Elle vient de recevoir sa belle-sœur, la princesse Charlene, de retour d'Afrique du Sud après une absence de six mois. Et sur un tout autre sujet, Stéphanie de Monaco s'est exprimée dans les colonnes de Var Matin. En tant que présidente du Festival international du cirque de Monte-Carlo, créé par son père, le prince Rainier, dont elle partageait la passion pour les spectacles d'animaux, elle s'est élevée contre les végétaliens.
En colère parce qu'on lui dit quoi manger
En réponse à une proposition de loi sur le bien-être animal qui interdirait les animaux sauvages dans les cirques itinérants et les baleines dans les parcs aquatiques, Stéphanie de Monaco s'est emportée contre les végétaliens, qu'elle juge responsables. Elle préfère une loi réglementant le bien-être des animaux dans ces zones à une interdiction, a déclaré : "Nous vivons dans une démocratie. Je n'aime pas vraiment l'opéra. Mais je ne vais pas manifester devant les théâtres.
En particulier en ce qui concerne la nourriture végétalienne, elle se plaint : "Chacun est libre de mettre ce qu'il veut dans son assiette. Si je veux manger un steak, je le ferai. Pourquoi certaines personnes devraient-elles décider de la façon dont je devrais vivre ?" Mais derrière ses provocations, Stéphanie de Monaco veut orienter le débat vers ce qu'elle estime être un véritable problème.
Stéphanie veut recentrer le débat
Dans cette interview, elle pointe du doigt la surproduction et la surconsommation de l'industrie alimentaire, qui mériterait d'être mieux régulée. Elle ajoute : "Les végétaliens veulent cultiver du soja, qui est mauvais pour la santé à haute dose. De plus, des forêts entières doivent être abattues pour le cultiver. Que faisons-nous si nous avons du soja mais pas d'oxygène ?"