"Le plus important, c'est que nous sommes maintenant collectivement assez courageux pour transformer une industrie de tabloïds qui pousse les gens à être cruels et qui profite des mensonges et de la douleur qu'ils génèrent". C'est en ces termes que Meghan Markle a commenté le 2 décembre sa victoire en appel contre le Mail on Sunday.
Critique de sa victoire en appel
Selon une information relayée par l'AFP, le tabloïd, condamné en février pour atteinte à la vie privée, a été condamné en deuxième instance pour avoir publié une lettre que la duchesse de Sussex avait adressée à son papa en 2018. Et bien que son ancien chargé de com, Jason Knauf, ait révélé qu'elle avait écrit la lettre en sachant qu'elle pourrait être montrée au monde, le juge a néanmoins pris une décision contre le tabloïd.
Et bien sûr, la décision de la cour d'appel a mis en colère de nombreuses personnes à Londres. Notamment un certain Piers Morgan, l'ennemi juré de Meghan Markle. Lui qui avait perdu son emploi à Good Morning Britain en mars dernier pour avoir mis en doute les déclarations de la duchesse, qui affirmait avoir des problèmes psychologiques et des intentions suicidaires, a été renvoyé de l'émission pour faute grave.
"Princesse Pinocchio"
Dans sa chronique toujours en activité au Daily Mail, il a qualifié Meghan de "princesse Pinocchio". Il a expliqué : "Même si Meghan n'a pas formellement autorisé son père à publier la lettre, elle s'y attendait. Grâce à ses messages et e-mails dévoilés au tribunal, nous avons eu une toute autre image de Meghan, la sainte autoproclamée de la vie privée et de la véracité".