Albert de Monaco a participé le 29 mars à une cérémonie à la mémoire du prince Philip à l'abbaye de Westminster, aux côtés d'autres têtes couronnées, dont le roi Felipe VI et la reine Letizia d'Espagne, le roi Willem-Alexander, la reine Máxima des Pays-Bas et l'ancienne reine, la princesse Beatrix.
Patrice Pastor, cousin par alliance de David Hallyday, soupçonné.
Il était venu sans son épouse Charlène de Monaco, toujours en convalescence à Roc Agel, le domaine des Grimaldi, après une année 2021 très éprouvante pour sa santé. Et malheureusement, l'absence de la princesse n'est actuellement pas le seul caillou dans la chaussure du souverain de la principauté...
Depuis l'automne dernier, des proches d'Albert II sont victimes d'une campagne de dénigrement. sont la cible d'une campagne de dénigrement sur fond de scandale immobilier sur un site internet "Les dossiers du Rocher". Et si le prince était déjà monté au créneau en novembre dernier - "Ce sont des méthodes utilisées par des gens peu scrupuleux pour être polis. Si l'on n'y regarde pas de trop près, je dirais qu'il s'agit de voyous qui se cachent derrière l'anonymat !". - il n'a pourtant pas réussi à se débarrasser du "corbeau", comme l'ont surnommé nos confrères de Point de Vue.
La semaine dernière, Le Monde a partagé un nouvel aperçu de l'affaire. D'un côté, le multimilliardaire Patrice Pastor, 49 ans, entrepreneur en bâtiment depuis des décennies (et cousin d'Alexandra Pastor, l'épouse de David Hallyday), soupçonné d'être le corbeau. De l'autre, quatre proches d'Albert de Monaco : Didier Linotte, président de la Cour suprême, Laurent Anselmi, chef de cabinet du souverain, Claude Palmero, expert-comptable et gestionnaire de fortune du prince Albert II, et Thierry Lacoste, avocat et ami d'Albert.
Une campagne de dénigrement
Leur intégrité a été mise en cause par la diffusion de "dizaines d'e-mails piratés", de "dossiers" transmis à des journalistes par "des personnes se présentant comme des lanceurs d'alerte", mais aussi de nombreux "SMS, messages WhatsApp ou autres e-mails contenant des liens et des captures d'écran" envoyés à des Monégasques.