M6 a lancé le jeudi 10 février la nouvelle saison de Pékin Express, intitulée "Au pays de l'aigle royal". La saison s'est déroulée dans différents pays d'Asie centrale, à savoir au Kirghizstan, en Ouzbékistan et en Jordanie. La finale a été tournée à Dubaï (Émirats arabes unis). C'est dans cette ville qu'aurait dû se dérouler la finale de la saison précédente, avant que le parcours ne soit modifié en raison de la pandémie de Covid-19.
Le premier épisode emmène les téléspectateurs au Kirghizstan.
Un pays musulman, "même si l'islam enregistre une arrivée tardive dans le pays", comme l'indique le site Kirghizistan Voyages. "L'islam kirghize d'obédience sunnite est majoritaire, suivi par les orthodoxes. Ce pays nomade, tout comme la Mongolie, a su intégrer de nouvelles croyances tout en préservant les traditions les plus anciennes comme le chamanisme ou le zoroastrisme".
"Il y a environ 65% de musulmans, dont une majorité d'Ouzbeks, et 25% d'orthodoxes, qui sont apparus avec l'arrivée de la population russe. Quelle que soit la religion pratiquée, le chamanisme a toujours sa place dans les croyances et les traditions des nomades. Depuis l'indépendance en 1991, d'autres religions se sont imposées timidement, si bien qu'il y a aujourd'hui des catholiques, des protestants et quelques adeptes du bahaïsme".
Des conditions de tournage particulières
Si la saison 2021 a été marquée par la pandémie, mais aussi par un accident mortel, la saison 2022 a été "très compliquée", comme l'a dit Stéphane Rotenberg au micro de Philippe Vandel. Moins que la précédente, cependant. "L'Asie centrale a été très peu touchée parce que ce sont en général des pays très peu peuplés avec de grandes surfaces", a-t-il poursuivi. "Et nous avons été testés, plusieurs fois testés".
D'ailleurs, les candidats seront vus avec des masques lors de leur passage à Dubaï, où les règles sanitaires sont plus strictes.